
Contre la précarité
C’est pourquoi la première chose que nous devons faire partout, c’est de briser la ligne de démarcation entre le fixe et le temporaire, entre l’embauché et le sous-traitant, entre un secteur et un autre, entre une entreprise et une autre. Nous sommes tous des travailleurs, nous sommes tous plus ou moins précaires et si nous commençons à voir qui est le pire, nous finirons tous sous le minimum de survie pour la plus grande gloire du capital national et sa compétitivité. Nous devons tous nous mobiliser ensemble, en tant que classe, et contrôler collectivement chaque conquête que nous faisons.